L’importance de l’échec

Être Soi

L’importance de l’échec

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J’ai toujours eu peur d’échouer, de l’échec.

Ce truc qui te met en miettes, tu as juste envie de te rouler en boule et de ne plus exister, tu as honte et tu veux oublier.

L’échec me fait encore peur, mais maintenant, j’essaye de le comprendre de ne pas le laisser me paralyser.

Comprendre et ne pas lui donner tout le poids négatif qu’il a sur moi. Je veux apprendre à échouer et je vous raconte dans cet épisode ce que l’échec a fait de moi ce que je suis aujourd’hui.

La peur de l’échec

Je pense qu’on connaît tous l’échec à notre échelle et cette peur, j’imagine que vous l’avez tous ressentie. Ce truc qui vous paralyse car vous ne savez pas comment faire, car si vous avancez, vous voyez un échec de suite.

Comme si la moindre action signifiait échouer, la peur de revivre la même chose, ressentir les mêmes sentiments qui font mal que vous éviter à tout prix.

Je vois très bien ce que ça veut dire. La peur d’échouer est pour moi liée à plusieurs choses : le vécu de chacun, votre vision de la vie, vos ambitions, vos projets et vos échecs surtout. Le traumatisme d’un échec ou la répétition d’un schéma peut affecter votre vison des choses et vos actions.

Personnellement, je sais que je suis paralysée par la peur d’échouer quand :

  • Je procrastine sans fin plutôt que d’avancer sur ce qui compte vraiment pour moi,
  • Je suis ultra perfectionniste au point que tout ce que je produis ne sera jamais suffisant pour moi,
  • Je suis plus enclin à rester dans ma zone de confort pour éviter toute confrontation,
  • L’estime/confiance en soi est en chute libre
  • Je vais passer 95% de mon temps à engloutir un maximum d’information pour ce que je souhaite faire et 5% à essayer de faire quelque chose/passer à l’action

Vous voyez le tableau : un pas en avant, trois pas en arrière.

Le droit à l’erreur

Ce qui a été assez révélateur pour moi concernant cette peur de l’échec a été de changer de point de vue le concernant. Et pour changer de point de vue, j’ai commencé à chercher ce qui me différenciait des entrepreneurs à succès ou des personnes qui m’inspiraient au quotidien.

Pourquoi étais-je si attaché, touché, heurté par mes propres échecs ? Pourquoi ne me donnais-je par le droit d’échouer ?

Changer la perception que l’on a à propos de nos échecs pour en tirer le meilleur et avancer : le truc qui a tout changé

En prenant de la distance et en arrêtant de tourner en rond (cercle vicieux), j’ai fini par m’apercevoir qu’il existait des alternatives, d’autres façons de vivre ses échecs.

Notre vision française de l’échec (honte, regret, humiliation, colère) est loin de celle d’autres cultures comme aux USA : l’échec est une étape normale de tout projet et loin d’être un fardeau pour eux. L’échec ne façonne pas la personne, le droit à l’erreur existe.

Faire de l’échec sa force

Changer sa façon de penser, ses mécanismes de pensées ou d’habitudes n’est jamais chose facile, mais pas impossible.

Si échouer a été longtemps dur pour moi, apprendre, comprendre et me poser des questions sur ce que l’échec me faisait ressentir me permet aujourd’hui de trouver des solutions.

Changer sa façon de voir les choses, ses idées préconçues que l’on nous apprend depuis toujours, regarder ses échecs comme une étape et non comme une fin.

J’essaye aujourd’hui de voir mes échecs comme des leçons et non comme une note, un boulet que je traîne, un panneau que l’on porte pour se moquer (bonjour l’école).

Si échouer est (malheureusement) encore une façon pour beaucoup de se rassurer (en se moquant, rabaissant trop souvent), sachez que vous êtes celui qui a testé quelque chose.

L’échec résulte d’actions, si vous voulez arrêter d’échouer, il faudra arrêter d’agir. Cela fait beaucoup de possibilités, chemins de vie, aventures en moins et rien que d’y penser, j’ai envie de travailler pour que mes échecs ne m’empêchent plus d’avancer.

#25 : L'importance de l'échec

L'importance de l'échec

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J’ai toujours eu peur d’échouer, de l’échec.

Ce truc qui te met en miettes, tu as juste envie de te rouler en boule et de ne plus exister, tu as honte et tu veux oublier.

L’échec me fait encore peur, mais maintenant, j’essaye de le comprendre de ne pas le laisser me paralyser.

Comprendre et ne pas lui donner tout le poids négatif qu’il a sur moi. Je veux apprendre à échouer et je vous raconte dans cet épisode ce que l’échec a fait de moi ce que je suis aujourd’hui.

La peur de l’échec

Je pense qu’on connaît tous l’échec à notre échelle et cette peur, j’imagine que vous l’avez tous ressentie. Ce truc qui vous paralyse car vous ne savez pas comment faire, car si vous avancez, vous voyez un échec de suite.

Comme si la moindre action signifiait échouer, la peur de revivre la même chose, ressentir les mêmes sentiments qui font mal que vous éviter à tout prix.

Je vois très bien ce que ça veut dire. La peur d’échouer est pour moi liée à plusieurs choses : le vécu de chacun, votre vision de la vie, vos ambitions, vos projets et vos échecs surtout. Le traumatisme d’un échec ou la répétition d’un schéma peut affecter votre vison des choses et vos actions.

Personnellement, je sais que je suis paralysée par la peur d’échouer quand :

  • Je procrastine sans fin plutôt que d’avancer sur ce qui compte vraiment pour moi,
  • Je suis ultra perfectionniste au point que tout ce que je produis ne sera jamais suffisant pour moi,
  • Je suis plus enclin à rester dans ma zone de confort pour éviter toute confrontation,
  • L’estime/confiance en soi est en chute libre
  • Je vais passer 95% de mon temps à engloutir un maximum d’information pour ce que je souhaite faire et 5% à essayer de faire quelque chose/passer à l’action

Vous voyez le tableau : un pas en avant, trois pas en arrière.

Le droit à l’erreur

Ce qui a été assez révélateur pour moi concernant cette peur de l’échec a été de changer de point de vue le concernant. Et pour changer de point de vue, j’ai commencé à chercher ce qui me différenciait des entrepreneurs à succès ou des personnes qui m’inspiraient au quotidien.

Pourquoi étais-je si attaché, touché, heurté par mes propres échecs ? Pourquoi ne me donnais-je par le droit d’échouer ?

Changer la perception que l’on a à propos de nos échecs pour en tirer le meilleur et avancer : le truc qui a tout changé

En prenant de la distance et en arrêtant de tourner en rond (cercle vicieux), j’ai fini par m’apercevoir qu’il existait des alternatives, d’autres façons de vivre ses échecs.

Notre vision française de l’échec (honte, regret, humiliation, colère) est loin de celle d’autres cultures comme aux USA : l’échec est une étape normale de tout projet et loin d’être un fardeau pour eux. L’échec ne façonne pas la personne, le droit à l’erreur existe.

Faire de l’échec sa force

Changer sa façon de penser, ses mécanismes de pensées ou d’habitudes n’est jamais chose facile, mais pas impossible.

Si échouer a été longtemps dur pour moi, apprendre, comprendre et me poser des questions sur ce que l’échec me faisait ressentir me permet aujourd’hui de trouver des solutions.

Changer sa façon de voir les choses, ses idées préconçues que l’on nous apprend depuis toujours, regarder ses échecs comme une étape et non comme une fin.

J’essaye aujourd’hui de voir mes échecs comme des leçons et non comme une note, un boulet que je traîne, un panneau que l’on porte pour se moquer (bonjour l’école).

Si échouer est (malheureusement) encore une façon pour beaucoup de se rassurer (en se moquant, rabaissant trop souvent), sachez que vous êtes celui qui a testé quelque chose.

L’échec résulte d’actions, si vous voulez arrêter d’échouer, il faudra arrêter d’agir. Cela fait beaucoup de possibilités, chemins de vie, aventures en moins et rien que d’y penser, j’ai envie de travailler pour que mes échecs ne m’empêchent plus d’avancer.

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