⚡️L’aventure de la parentalité s’accompagne souvent avec beaucoup de jugements. Et si l’on choisi de prendre un chemin différent pour construire sa propre vision, expérimenter selon nos propres sensibilités. On se prend des claques dans tous les sens, avec d’une part :
⛈Une pluie de critiques parce qu’on ne correspond pas à la vision normée et traditionnelle et que cela peut paraître dangereux, pour les parents, pour l’enfant et pour la société.
🥇Et d’autre part, certains parents peuvent se sentir mis à mal dans leur confiance et leur estime. “Si je ne fais pas tel ou tel choix éducatif, je suis un mauvais parent” ce qui peut mener à une course du parent parfait en essayant de cocher toutes les cases de la parentalité optimale. T’as déjà entendu parler de burn-out parental ?
✂️Au contraire certains parents estiment que tous ces choix ne sont là que pour embellir une image et donc rejètent tout en bloc en mode : “j’en ai marre de toute cette mouvance qui veut me vendre la parentalité parfaite.”
❓Est-ce-qu’on ne pourrait pas arrêter de prendre les choses personnellement ? Laisser untel et unetelle faire leur choix, ne pas recevoir leurs témoignages comme des injonctions qu’il faut agir de même si l’on veut être un bon parent.
Quand je partage ici notre envie de faire l’instruction en famille, l’allaitement non-écourté, le portage… ce ne sont jamais des injonctions ou un porte-étendard de la parentalité parfaite. Ce sont seulement des choix de coeurs selon mes propres valeurs et mes propres sensibilité.
Arrêtons de croire qu’il existe une compétition du parent parfait. Nous faisons tous de notre mieux. Et il n’existe toujours pas de manuel ou de recette magique.
On tâtonne, on expérimente selon ce que nous dicte nos coeurs et ce que l’on sait. On fait des erreurs et on avance petit à petit. 🌱
