Alors, j’ai vu passer un article sur le Figaro qui prétend que certains utilisent les recherches sur l’ocytocine pour justifier leur approche de la parentalité positive. Et là, je me suis dit : mais qu’est-ce qu’ils racontent encore ?!
Personnellement, je ne vois pas vraiment où ils veulent en venir avec cette histoire d’ocytocine. Je pense que la parentalité positive est une approche qui a des avantages certains, mais il y a aussi des dangers à se servir de l’ocytocine comme prétexte à cette approche.
Et je vais vous expliquer pourquoi dans cet article. Allez, accrochez-vous, ça va être mouvementé !
La parentalité positive, une idéologie dangereuse ?
La parentalité positive, une idéologie dangereuse ? On en parle ! Mais franchement, c’est quoi cette connerie ?! Depuis quand vouloir éduquer ses enfants dans la bienveillance et le respect devient une “idéologie” ?! Mais surtout, depuis quand on utilise l’ocytocine comme prétexte pour justifier cette “idéologie” ?!
On dirait que certains cherchent vraiment des excuses pour ne pas avoir à changer leur façon de faire avec leurs enfants. Comme si c’était normal de crier sur son gosse pour qu’il obéisse, de le taper pour le punir, de le brimer pour qu’il rentre dans le moule. Mais merde, on est en 2023, pas en 1923 !
La parentalité positive, ça parle de prendre en compte les besoins de l’enfant, mais aussi les besoins des parents. Ça parle de s’adapter à chaque enfant, à chaque situation. Ça parle de trouver des alternatives à la violence, à la punition, au chantage. Ça parle d’être à l’écoute, de respecter les choix de son enfant, de lui donner confiance en lui et en ses capacités.
Et vous savez quoi ? Ça marche ! Pas besoin d’être un génie de la neurosciences pour comprendre que les enfants ont besoin d’amour, de sécurité et de bienveillance pour grandir. Mais apparemment, certains préfèrent rester dans leur petit confort de parent autoritaire, persuadés que c’est la seule façon de se faire obéir. 🤦♀️
Alors non, la parentalité positive n’est pas une idéologie dangereuse. Ce qui est dangereux, c’est de continuer à élever nos enfants avec des méthodes violentes et dépassées. Alors oui, si l’ocytocine peut nous aider à mieux comprendre les mécanismes de l’amour et de l’attachement, tant mieux ! Mais ça ne doit pas être une excuse pour rejeter en bloc une approche éducative qui a fait ses preuves.
